L’AFPA en mission pour l’Union pour la Méditerranée

L’association pour la formation professionnelle des adultes Provence Alpes Côte d’Azur s’est engagée dans la conduite d’un projet de formation professionnelle pour l’Union pour la Méditerranée.
Dans le cadre de l’Union pour la Méditerranée, fondée le 13 juillet 2008 dans le cadre de la présidence française de l’Union européenne et réunissant 43 membres, la formation professionnelle est un enjeu déterminant pour la modernisation, la diversification et le développement des économies des pays membres.

C’est un instrument de convergence économique et social. L’association pour la formation professionnelle des adultes (Afpa) va piloter une mission sur ce thème depuis Marseille. Le lancement de la mission s’effectuera en présence de Philippe Caïla, directeur général de l’Afpa (photo ci-dessous) et de Jean-Jacques Blanc, directeur régional de l’Afpa.

La formation professionnelle doit permettre de répondre à la demande d’emplois qualifiés pour servir l’économie, améliorer la compétitivité des entreprises et favoriser les mobilités professionnelles. Elle doit être en adéquation avec les besoins du marché. L’Afpa a compétence pour répondre en qualité d’intégrateur et ainsi assurer l’ingénierie de formation, l’assistance technique, la formation des formateurs.

La ville de Marseille, siège de l’Union pour la Méditerranée, avait naturellement vocation à devenir ce centre d’expertise en matière de formation professionnelle.

L’enjeu du projet:
Les estimations concordent sur le chiffre de 22 millions d’emplois nouveaux à créer dans les 15 prochaines années. Cela simplement pour éviter une aggravation du taux de chômage dans les pays partenaires méditerranéens. A cette fin, le renforcement du capital humain par la formation professionnelle représente un enjeu essentiel pour la modernisation, la diversification et le développement des économies des pays membres de l’UpM.

La plus-value de l’AFPA PACA dans ce projet :
– La proximité : des compétences nationales et internationales et son implantation sur le pourtour méditerranéen. Tunisie, Maroc et Egypte ont notamment engagé depuis plusieurs années d’importants processus de réforme de leur dispositif de formation dans lesquels l’AFPA a été fortement impliquée,
– ses compétences sur l’ingénierie de formation, l’assistance technique, la formation de formateurs,
– son expérience et sa capacité à répondre à la demande d’emplois qualifiés pour servir l’économie, à améliorer la compétitivité des entreprises et favoriser les mobilités professionnelles.

Perspective:
La ville de Marseille a pour vocation de devenir le centre d’expertise en matière de formation professionnelle. L’AFPA doit jouer au sein de l’UpM un rôle d’intégrateur majeur à travers la constitution d’une plateforme interinstitutionnelle dans le domaine de la formation.

Par Marseille.fr et Afpa.fr – le 22 juillet 2009

Maroc/Emerging Capital Partners : 12,4 M USD pour acquérir EMT et Somadiaz, via «Almes» Holding

Publié le 29/07/09.
Emerging Capital Partners (ECP), l’un des leaders dans la gestion de fonds d’investissement dédiés au continent africain a annoncé, en début de semaine, deux prises de participation dans des entreprises nord-africaines opérant dans le secteur de la construction, Almes et Shoresal.
Ces deux investissements, pour un montant de 26,2 millions USD, s’inscrivent dans la stratégie d’expansion du portefeuille nord-africain d’ECP.
ECP a investi dans plusieurs entreprises africaines d’ingénierie et de construction depuis 2006, et nous étudions depuis un certain temps les opportunités d’investissement sur le marché nord-africain», déclare Thomas Gibian, président-directeur général d’ECP.

«A la différence de nombreux marchés occidentaux, le marché de l’immobilier et de la construction est généralement caractérisé par un déficit d’offre face à une demande croissante de la part des entreprises étrangères et des entreprises locales.»
Au Maroc, ECP a investi 12,4 millions USD dans Almes, une société holding mise en place pour acquérir les sociétés Entreprise Marocaine de Tavaux (EMT) et Somadiaz. EMT est une entreprise de BTP spécialisée dans les travaux publics, le génie civil et le terrassement pour des projets d’infrastructure variés. Somadiaz est une entreprise de location de matériel de BTP, leader marocain dans le domaine du levage et des transports spéciaux.

Cette opération constitue une opportunité pour le groupement EMT/Somadiaz de poursuivre le développement des sociétés au Maroc et de déployer l’offre de services dans des pays voisins – comme la Libye ou la Mauritanie-où la demande en travaux publics et autres services de construction est également importante. ECP a réalisé cette opération en partenariat avec Alliances Développement Immobilier, premier opérateur immobilier et touristique intégré au Maroc. Les investissements dans EMT et Somadiaz ont été réalisés via le Moroccan Infrastructure Fund (MIF), fonds cogéré par ECP et Attijariwafa bank, l’une des institutions financières leaders en Afrique du Nord. Le fonds a été créé en décembre 2006 afin de capitaliser sur les réformes en cours qui stimulent la croissance économique du Maroc. Le MIF est dédié aux secteurs des infrastructures et cible de nombreux secteurs, dont les télécommunications, les transports, l’énergie, l’électricité et l’eau.

En Algérie, ECP a acquis une participation de 13,8 millions USD dans Shoresal, une société de promotion immobilière. Cet investissement devrait permettre à Shoresal de financer, en partie, le développement d’une tour de bureaux de classe A de 14 étages dans le quartier d’affaires de Bab Ezzouar à Alger. La demande d’espaces de bureaux dans les grandes villes est huit fois plus importante que l’offre actuelle. Ce déséquilibre résulte notamment de l’augmentation significative du nombre de multinationales implantées dans le pays, qui a triplé depuis 2000. Shoresal constitue le cinquième investissement d’ECP en Algérie, après des prises de participation dans les secteurs des services financiers, des biens de consommation et des télécommunications.

L’investissement a été réalisé à travers le MENA Growth Fund LLC géré par ECP, qui a été établi en septembre 2007 pour bénéficier des opportunités d’investissement à travers le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord. Enfin, « ECP considère que le secteur de la construction dans toute la région Afrique du Nord est sur le point de connaître une croissance exceptionnelle », déclare Vincent Le Guennou, directeur général d’ECP. «Nous pensons que le fort déséquilibre entre l’offre et la demande est une très forte incitation à investir ».
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A propos d’ECP

Emerging Capital Partners (ECP) est une société américaine de gestion de fonds d’investissement en Private Equity spécialisée sur le continent africain, avec plus de 1,6 milliard USD sous gestion. L’équipe de gestion a investi à travers toute l’Afrique pendant neuf ans. ECP vise à offrir aux investisseurs des rendements supérieurs à ceux en vigueur sur le marché, et qui ne sont pas liés à l’économie américaine ni aux autres économies dominantes.

$100 million of new British investments in Egyptian automotive sector

26 Jul 2009

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In the frame of supporting the strategy planed by the Ministry of Trade and Industry to promote Egyptian exports in the field of car feeding industries and Components, the export council of the engineering industries sent a promoting trade delegation to Britain in collaboration with the Association of British car manufacturers and dealers, said Ahmed Fekri Abd-el Wahab, the head of the council.

He said that the visit aimed at completing negotiations with the British side for attracting investments valued by 100 million dollars during the next year in the Egyptian automotive sector.

He noted that many of the British companies are seeking to invest in Egypt, aiming at exporting to the countries which agreed on free trade agreement with Egypt.

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Irak, Climat des affaires et des investissements

Irak, Climat des affaires et des investissements.

1) Pas d’exemption des lois irakiennes

Les contrats avec le gouvernement américains et les autres pays alliés étaient exemptés de l’application des lois irakiennes jusqu’au 1er Janvier 2009. Depuis le Status of Forces Agreement (SOFA) a levé cette immunité, ce qui signifie que désormais les entreprises et personnes étrangères sont sujettes à l’application des lois civiles et criminelles en Iraq mais aussi doit observer les obligations légales et règlementaires incluant les procédures du droit d’établissement et d’exit, la loi sur l’imposition, les procédures d’enregistrement y compris pour les véhicules, les permis de conduire et les armes. De plus, toutes les entreprises et personnes étrangères engagées dans des activités commerciales doivent obtenir une licence du gouvernement irakien.

2) Création d’un bureau de représentation commerciale

La méthode la plus simple pour établir une présence commerciale en Irak, en particulier pour les compagnies étrangères cherchant des contrats avec le gouvernement Irakien, est de s’enregistrer comme un «Bureau de représentation commerciale». Cette forme permet aux sociétés étrangères de développer des activités commerciales en Irak et à pouvoir négocier des contrats avec des ministères iraquiens. La procédure d’enregistrement comme un bureau de représentation est simple, nécessite de remplir une demande, nommer un « directeur et le paiement d’une somme modique. En Iraq, la plupart des ministères n’ont pas besoin d’autres licences pour conclure un contrat. Si une société étrangère obtient un contrat avec le gouvernement, elle peut alors transformer son bureau de représentation commerciale en filiale.

3) Création d’une filiale

La loi « CPA Order 93 », qui est actuellement intégrée à la loi irakienne actuelle, permet à des entreprises non-irakiennes de se créer et opérer par le biais d’une filiale. L’enregistrement d’une filiale a été au cours des dernières années le moyen le plus rapide à mettre en place pour les entreprises non-irakiennes pour pouvoir engager des activités commerciales en Irak (par opposition au bureau de représentation commerciale qui peut se livrer uniquement à des activités de développement des entreprises). Bon nombre de sociétés opérant en Iraq sont mises en place comme des filiales. Les entreprises étrangères qui souhaitent établir une société distincte pour faire des affaires en Irak, plutôt que d’une filiale peuvent opter pour les formes classiques d’intégration y compris les sociétés à responsabilité limitée, sociétés anonyme, sociétés à responsabilité commune, l’entreprise à propriétaire unique, l’entreprise à commandite simple. Choisir la meilleure entité dépend du degré de responsabilité que les investisseurs veulent protégés, le nombre d’investisseurs, de leur pourcentage de participation, et si les investisseurs publics et privés seront impliqués. Les formes de société les plus populaires pour les sociétés étrangères sont les sociétés à responsabilité limitée et les sociétés anonymes.

4) Paiment des impots

Les règles fiscales sont désuètes et contiennent de nombreuses ambiguïtés. En général, les Irakiens et de non-Irakiens résidant en Irak doivent payer l’impôt sur le revenu qui provient d’Irak. L’impôt sur le revenu Irakien définit le revenu imposable comme revenu net provenant d’activités commerciales ou d’activités ayant un caractère commercial. Les revenus des sociétés à responsabilité limitée et des sociétés par actions est taxé à un taux fixe de 15%. Les entreprises étrangères doivent demander des conseils précis sur la façon dont leur entreprise seront traitées en vertu de la législation fiscale Irakienne et la manière de le déclarer et s’en acquitter.

5) Obtention d’une autorisation d’investissement (licence)

Pendant le régime de Saddam Hussein, la loi décourageait les investissements étrangers. Seuls les Irakiens pouvaient constituer des sociétés en Irak et les entreprises étrangères qui ont ouvert des bureaux en Irak ont fait face à des règles strictes concernant leurs activités commerciales. En Octobre 2006, le gouvernement Irakien a promulgué la loi sur l’investissement national, qui contient des mesures incitatives pour les entreprises étrangères, y compris une exonération d’impôts et des taxes et la garantie que le capital des investisseurs étrangers seront traités de la même manière que les investisseurs en capital nationaux. En vertu de la loi, les sociétés doivent demander un projet de licence d’investissement spécifique de la part de la commission nationale de l’investissement (NOC) or régionale pour pouvoir se prévaloir des incitations. En plus d’une exonération totale du paiement de l’impôt, les projets sous licence sont garantis de la possibilité de rapatriement de la totalité des bénéfices de l’investissement, le droit d’employer des travailleurs étrangers, et une période d’exonération de trois ans sur les droits d’importation pour les équipements requis pour le projet. Le Gouvernement régional du Kurdistan a adopté sa propre loi sur les investissements qui contient quelques différences.

6) Droit de propriété des étrangers

La plupart des pays du Moyen-Orient et Afrique du Nord limite le droit d’accession à la propriété des étrangers. Le gouvernement Irakien a maintenu en place ces interdictions traditionnelles, mais permet des baux à long terme pour les entreprises qui obtiennent une licence d’investissement, mais aucun droit de propriété de biens immobiliers. D’autre part, le Gouvernement régional du Kurdistan, à travers son droit d’investissement régional permet l’appropriation de biens immobiliers dans les trois provinces du Nord qui composent la région du Kurdistan. Le gouvernement central Irakien est en train d’examiner une exception à cette règlementation et le Premier ministre Maliki, ainsi que le Président de la Commission nationale d’investissement, M. Sami al-Araji, ont exprimé leur soutien à un changement de la loi pour autoriser le droit de propriété dans le reste de l’Irak.

7) Droit d’établissement et de sortie (exit)

L’obtention de l’autorisation d’entrée en Irak est presque automatique pour les contractants du gouvernement des États-Unis avant l’accord sur le « statut des forces » (status of Forces Agreement). La suppression de l’immunité des contractants a rendu obligatoire l’obtention d’un visa d’entrée pour toutes les sociétés. Les visas doivent être obtenus auprès de l’ambassade Irakienne avant d’entreprendre un voyage en Irak. La procédure d’obtention du visa est assez lourde et peut parfois prendre des semaines voire des mois. L’obtention d’une lettre d’approbation des officiels Irakien du commerce, tels que l’attaché commercial, la Commission nationale d’investissement, la Commission de l’investissement régional du Kurdistan irakien et d’autres bureaux de représentation peut considérablement accélérer la procédure. En outre, toute entreprise étrangère qui reçoit une licence d’investissement doit recevoir la garantie d’entrée et de sortie pour ses employés.

8) Force exécutoire des contrats

Le système juridique Irakien est vieux de plusieurs siècles de traditions établies de longue date. Pourtant, elle s’est détériorée fortement sous Saddam Hussein et, davantage, au cours du récent conflit. Alors que l’assistance de la coalition des États-Unis et d’autres pays a introduit des concepts modernes, il est cependant nécessaire d’œuvrer davantage pour intégrer les normes internationales pour la réglementation des affaires et le règlement des différends. Dans la mesure du possible, les entreprises étrangères devraient inclure l’arbitrage et les clauses arbitrales dans leurs contrats afin de tirer avantage des lois sur le règlement des différends. Toutefois, les entreprises doivent également garder à l’esprit que l’Irak n’est pas encore signataire de la Convention de New York, le principal traité qui assure l’exécution des actes judiciaires et des sentences arbitrales.


Extrait de « IRAQ BUSINESS INITIATIVE », de la CHAMBRE DE COMMERCE DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE, par David Tafuri, Esquire qui assiste les investisseurs en droit des affaires, litiges et les questions de politique publique.

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Iraq plans rail link to Syria

Iraq says it hopes to open a rail route to Syria later in 2009, reopening an old trade route between the Gulf and southern Europe through Baghdad.

Iraqi Transport Minister Amir Abduljabbar says he would like to launch the project in June although this depends on the ministry completing other work on Iraq’s rail network.

The announcement follows talks between government officials from Iraq, Syria and Jordan to increase co-operation between the three countries on transport, and rebuilding links between the three countries, particularly railways.

Iraq has started to reopen its railway west from Baghdad into Al-Anbar province, towards the Syrian border (MEED 27:3:09).

At the same time, Jordan has selected an international advisory team to consult on a JD4.5bn ($6.4bn) rail project running the length of the country, also to the Syrian border (MEED).

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Special Report: Jordan – Closer regional trade links benefit economy

The economic slowdown in the Gulf is having a direct effect on Jordan‘s economy, and highlighting its dependence on remittances from the 600,000 Jordanians working in the GCC.

Such is the volume of money these workers send back that remittances accounted for almost 15 per cent of the kingdom’s gross domestic product (GDP) in 2008. But remittances fell to $273m in April this year, down almost 10 per cent compared with the same month in 2008.

Jordan’s economy is also vulnerable to external shocks because of its reliance on foreign direct investment and global export markets. Both of these key GDP generators have recorded lower growth rates in 2009 than the previous year.

There is one area of optimism, however. Trade with its neighbour, Iraq, is providing Jordan with a much needed fillip to its economy. Baghdad’s $70bn reconstruction plan is translating into orders for cement, bricks and other materials from Jordanian companies, while the port of Aqaba receives a large proportion of the overseas goods destined for Iraq.

A surge in Iraqi reconstruction efforts could not have come at a better time for Jordan, whose future economic prosperity relies on good relations with its often troubled neighbours.

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Karbala Investment Authority granted a license to Canadian Co. to implement housing project

2009-06-22
Karbala Investment Authority granted a license to Canadian Co. to implement housing project
Translated by IRAQdirectory.com – [6/18/2009]

The Chief of Karbala Investment Authority, stated on Tuesday, that the board has granted an investment license to a Canadian company for the implementation of a full housing complex project cost of $ 229 million to be completed within three years.

Jamal al-Hajj Yassin declared to (VOI) that the investment authority  » granted an investment license to the Canadian ( Iraq- Can )Co. to implement a 2000 housing units on 230 dunums of land, west of Karbala. »

« The project at a cost of $ 229 million dollars, it will be implemented on the methods of vertical and horizontal construction, and includes a general hospital and four primary, middle and junior high schools in addition to a kindergartens and public entertaining facilities. »

He noted, « That signing the contract took place in Karbala, with the company’s representative in Iraq, which has several branches in a number of countries, » he said.

Yassin clarified, « The project is called (a myth) al-Astora, and the Authority stated a condition to the implementing company that Iraqi employment rate should not be less than50% in the implementation of the project. »

He pointed out that « the project will be implemented over three years and it was agreed on selling the apartments in installment process to the citizens, » explaining that « this is the tenth investment license granted by the body to Arab and international companies and covered all sectors of industrial, recreational, residential, medical and tourism. »

The town of Karbala, the center of Karbala Governorate at a distance of 110 km to the south-west of the capital Baghdad.

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AME Info, Iraq, oil and gas briefs

IRAQ OIL NEEDS $50BN INVESTMENTS: Iraq‘s oil minister Hussain al-Shahristani has said that his country needs more than $50bn of investments in the country’s petroleum industry in the next five to six years. The country plans to increase its crude oil production to six million barrels a day by the end of 2015, from the current 2.4 million barrels and aims to almost triple its refining capacity to 1.5 million barrels a day by 2017 from 540,000 barrels at present, he said.

Iraq’s proven oil reserves in 78 discovered fields are about 115 billion barrels, equal to about 10 percent of the world’s total holdings, al-Shahristani has said.

KARBALA TO HAVE SOLAR,WIND POWER STATION: The spokesperson for Iraq’s Karbala investment commission has said that a German firm plans to submit an offer to construct a 400 megawatt solar-wind power generation station in the holy city, Aswat al-Iraq news agency has reported. ‘The project will be set up over an area of 120,000 square metres at a desert location south of Karbala city,’ the spokesperson said.

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Iraq offers to supply half of Nabucco’s gas

By Delphine Strauss in Ankara and Ed Crooks in London

Published: July 14 2009 03:00 | Last updated: July 14 2009 03:00

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Iraq has offered to supply enough gas to fill half the capacity of the proposed Nabucco pipeline, giving the project a boost even as heads of government met to sign a historic agreement approving the plan.

The offer from Nouri al-Maliki, Iraq’s prime minister, to supply 15bn cubic metres of gas a year by 2015 helps address the greatest obstacle to the 3,300km pipeline from eastern Turkey to Austria: the prospect of there not being enough gas to fill it.

José Manuel Barroso, pre-sident of the European Commission, said the signing of the Nabucco agreement in Ankara by the leaders of five countries on the pipeline’s route – Austria, Bulgaria, Hungary, Roman-ia and Turkey – could « open the door to a new era in the relationship between the European Union and Tur-key, and indeed beyond ».

Dick Lugar, the most senior Republican in the US senate, said the agreement was « a signal to the rest of the world that partner governments will not acquiesce to manipulation of energy supplies for political ends ».

Nabucco is intended to provide an alternative to Russian supplies, which have caused growing concern following the disruption caused by disputes be-tween Russia and Ukraine.

The hope is that the inter-governmental agreement will convince gas-producing countries that the project – scheduled to start in 2014 – is closer to becoming reality than rival European or Russian-sponsored schemes, and persuade them to commit the volumes needed for commercial viability.

The only supplier that will definitely be ready for the first phase of the project is Azerbaijan, but it is juggling Nabucco’s de-mands against those of Russia.

Richard Morningstar, US energy envoy, described Azeri gas as a « necessary condition » but not sufficient for the €8bn ($11bn, £7bn) Nabucco project.

Hopes of securing Azeri gas for Nabucco are expected to suffer today when Bulgaria signs up with the consortium building ITGI, a rival pipeline project seeking to take gas from Azerbaijan to the EU.

Bulgaria is set to sign a memorandum of understanding for a planned spur off ITGI that could bring 3bn-5bn cu m of gas per year from Greece.

If Iraq is able to achieve its goal of supplying an annual 15bn cu m, it will fill almost half the pipeline’s 31bn cu m capacity.

Oil companies are interested in investing in the country to develop its resources, including gas.

The Kurdistan region in the north of Iraq has also attracted a planned investment by a consortium of companies including OMV of Austria and Mol of Hungary, which are both members of the Nabucco group.

Nabucco executives say significant quantities of gas could be available from those Kurdish fields as soon as next year.

Recep Tayyip Erdogan, the Turkish prime minister, also reiterated his desire for Iran to be a supplier « when conditions allow ».

Andris Piebalgs, EU energy commissioner, said the EU’s focus now would be on encouraging Turkmenistan to participate. Stefan Judisch of Germany’s RWE, the energy group that is a member of the Nabucco consortium, said Turkmenistan would be able to supply an annual 10bcm in the pipeline’s first phase, but would first have to find a way through disputes over the Caspian Sea.

Gurbanguly Berdymukhammedov, president of Turkmenistan, said last week that participation in the project would help his country – which is locked in a dispute with Russia over gas supplies – to diversify its export routes.

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Iraqi Kurdistan awards oil fields to Gulf Keystone

MEED

Published: 22 July 2009 13:50 GMTAuthor: Perry Williams

The Kurdistan Regional Government (KRG) of northern Iraq has awarded UK-based Gulf Keystone two production-sharing agreements (PSAs) to explore the Sheikh Adi and Ber Bahr oil blocks in the Dihok Province.

Gulf Keystone says the blocks may hold a combined 1 billion barrels of oil.

The Sheikh Adi block is situated northeast of Dihok and covers an area of 180 square kilometres.

The company will operate the block as part of an initial three-year exploration programme which started in July 2009. It holds an 80 per cent interest, with the KRG owning 20 per cent.

The Ber Bahr block covers an area of 350 square kilometres and is north of Dihok.

Gulf Keystone has a 40 per cent interest in this block, with operator Turkey’s Genel Energy also holding a 40 per cent stake. The KRG holds the balance.

Gulf Keystone expects to start drilling on both fields in 2010.

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